Se rassembler dans la poussière

Peut-être ne s’agit-il que de cela, d’arriver à se rassembler, à s’entendre et se comprendre comme si c’était la vocation de l’homme, du fait de sa nature « anormale », de réunir les éléments épars dont il dispose, pour se construire et se connaître. De là, il en ressort cette double condition, ou cette conscience scindée en deux états distincts, de solitude, de se sentir isolé et pris au piège dans une certaine pesanteur, ennui et abandon, de même parfois de se sentir relié et appartenant à cette totalité qui pourrait être merveille selon nos bons vouloirs.
Mais dans ceci, est-il possible de faire l’impasse sur le contexte, des trains d’ondes négatives, comme des polluants de nos corps et de notre esprit ? Aurons-nous la capacité de réagir et d’endiguer ce flux mauvais ? À quel facteur cela tient ?
La psyché doit être bonne. Bonne « Mère ». Bon pain.

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